après les couloirs

Michaël était sortit après s'être disputé avec Matt, mais ça l'avait pas affecté plus que ça, il aimait beaucoup Matt mais là, il en avait marre, il avait l'impression d'être surveillé tout le temps. Il fouilla dans la poche de son baggy et reprit une cigarette il l'alluma et l'amena sa bouche. Il toussa un peu, à cause de son problème respiratoire du à la cigarette et ça augmenta son mal de tête. Mais il s'en fichait.
Mike alla dans le jardin, il était torse nu juste avec son boxer et son baggy on voyait son tatouage autour de son nombril.
Il grimpa dans un arbre et s'assit sur une branche, le dos contre le tronc, il fumait et il essayait en même temps de faire passer ses maux de tête. Il regarda llh'eure sur sa montre 2h30...

Jean attendit que Matt regagne sa chambre. Enfin, en locurence, celle de ses frères, puis elle essaya de retrouver Michaël dans se dédalle de couloir... Elle le trouva, dehors et sortit à son tour, elle le regarda, et se mit contre le tronc en soupirant

- Michaël?

- Non. répondit-il, toujours pas calmé, donc il y avait une certaine tension qui se ressentait tout autour de lui.

Michaël n'avait pas envie de parler, il avait qu'on le laisse tranquille, il en avait assez, il ne voulait pas qu'on essaye toujours de le comprendre, bizare mais des fois, il préfère qu'on se mêle pas de ses affaires qu'on ne lui pose pas de question et qu'on arrête de le suivre pour lui interdire des trucs et lui dire ce qu'il doit faire ou pas.

- Bon...

Elle soupira

- Imagine que je parle au vent et qu'il a le même nom que toi

Un petit sourire lui échappa

- Je ne suis pas ici pour t'engeuler, ni même te dire ce que tu dois faire ou pas... Je suis pas là pour ça... Tu vois?...Je sais même pas comment m'y prendre avec vous 4... J'ai toujours eu l'habitude d'être seule... J'aurais au moins aimer vous connaître plus tôt pour vous comprendre... Mais j'ai pas eu cette chance... J'arrive en plein milieu du jeu de quille... Je ne sais quasiment rien de vous 4...

Michaël écouta Jean il essayait de se contrôler sur sa voix pour essayer de penser à autre chose que son mal de tête mais bon. Lorsque la jeune femme eu finit de parler, Mika ne répondit pas, il n'avait rien a répondre. Il ne connaissait pas cette femme, il ne voyait pas trop ce qu'il allait lui dire.
Michaël toussa encore une fois, ça lui faisait mal de tousser, ça lui inflammait les poumons mais il s'en fichait toujours.

Jean soupira de nouveau en l'entendant tousser ainsi

- Tu as envie d'être malade, voir même de finir tes jours en fumant et en étant solitaire?

Elle se décolla de l'arbre et leva la tête pour le regarder

- Si je peux au moins me rendre utile en t'écoutant... Je suis là...et puis, c'est toujours plus facile de se confier à une inconnue qu'à quelqu'n que tu connais vraiment non?

"- Tu as envie d'être malade, voir même de finir tes jours en fumant et en étant solitaire?"

- Possible, répondit simplement Michaël en haussant les épaules.

Si il mourrait demain, Mike serait carrément indifférent l'idée, il savait que c'était égoïste pour ses frères. Mais mourrir tout seul ou entouré, en souffrant ou pas, il s'en fichait complétement.

"- Si je peux au moins me rendre utile en t'écoutant... Je suis là...et puis, c'est toujours plus facile de se confier à une inconnue qu'à quelqu'n que tu connais vraiment non?"

- Peut être... Mais j'ai rien à vous dire.

Je le regarde

- Possible aussi... Mais de toute façon, je ne suis pas prête à rentrer... Je me suis pas encore faîte au décallage horraire...

Elle haussa les épaules

- Comme vous voulez.

Michaël continua sa cigarette, se défonçant les poumons par la même occasion. Il avait arrêté mais là,, il n'avait pas pus s'empêcher de reprendre malgrès la nette interdiction des médecins. Il savait que c'était un attitude irrésponssable de sa part de faire ça, mais tant pis, maintenant qu'il avait repris il n'avait plus envie d'arrêter il lui faudrait encore de la volonté et là, il n'en avait pas.
Il finit sa cigarette et la balança loin. Il posa sa tête contre le tronc de l'arbre, il avait mal, très mal, mais il ne se plaignait pas, il se sentait viévraux mais il ne disais rien, il n'avait pas envie de se faire soigner, d'aller au lit et de ne pas pouvoir bouger, là, si il voulait il pouvait bouger, mais il n'en avait pas envie.

Jean le regarda encore une fois... Elle n'allait pas le forcer à parler non plus, elle ne s'en donnait pas le droit. Elle regarda autour d'elle et haussa les épaule. Elle ne portait qu'un pantalon et un débardeur de couleur blanc, elle ne savait pas l'heure qu'il était mais elle n'avait pas envie d'être couchée, elle voulait de l'air... c'était pour ça qu'elle était sortie de sa chambre. Elle s'asseya dans l'herbe humide, ses jambes repliée contre elle. Elle n'avait pas froid mais elle se sentait légèrement... idiot d'avoir fait ça...si elle se relevait...elle serait mouillée et sur du blanc...tout le monde s'est que ça devient...transparent...

Michaël ne bougeais pas, il avait les yeux fermés, il respirait difficilement à cause de la douleur de ses poumons mais il se forçait à prendre de grandes bouffées d'air pour ne pas étouffer malgrès que ça lui fasse horriblement mal. Il ouvrit les yeux et regarda un moment en bas, juste histoire de voir ce que Jean faisait, elle était assise dans l'herbe.

* Très mauvaise idée* se dit il car l'herbe était humide et la jeune femme était habillée de blanc.

Mais il haussa les épaules et releva la tête pour regarder face à lui.

Jean haussa les épaules. Mouillée et alors?...De toute façon, il était trop tard maintenant, elle allait pas se relever et partir en courant se refugier dans sa chambre comme une enfant. Elle ensercla ses jambes de ses bras et posa son menton sur le haut de ses genoux, regardant au loin... Une idée lui passa en tête... Pourquoi était elle venue en Allemagne?... A parament, ils n'avaient vraiment pas besoin d'elle...

Michaël ouvrit les yeux. Il bougea un peu et descendit de l'arbre, un peu lourdement, mais il n'était pas tombé. Il posa sa main sur son front brûlant, il suait beaucoup, il avait chaud mais ses tremblements s'étaient intensifiés, et pourtant, l'idée d'aller se coucher n'était toujours pas la sienne.
Il en pouvais plus mais il s'en fichait, si il mourrait à cause de la fièvre, tant pis si il s'évanouissait tant pis.
Mike commença à marcher faiblement pour s'éloigner encore plus du bâtiment, il allait s'isoler un peu sans rien dire.

Jean soupira et regarde Michaël s'éloigner... Elle ne bougea pas, restant dehors... n'ayant pas l'envie d'aller dans son lit. Elle serait même restée là toute la nuit... Jean se laissa aller dans l'herbe complètement, au point où elle en était de toute façon...

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